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Téléchargement PDF Le Château, by Franz Kafka

Téléchargement PDF Le Château, by Franz Kafka

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Le Château, by Franz Kafka

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Le Château, by Franz Kafka


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Le Château, by Franz Kafka

Détails sur le produit

Poche: 384 pages

Editeur : Flammarion (13 octobre 1993)

Collection : Garnier Flammarion / Littérature étrangère

Langue : Français

ISBN-10: 2080704281

ISBN-13: 978-2080704283

Dimensions du produit:

17,8 x 10,8 x 2 cm

Moyenne des commentaires client :

3.9 étoiles sur 5

34 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

206.826 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Kafka n’avait pas écrit le Château pour qu’il soit publié. Il l’a écrit comme on tient un journal. Ce manuscrit inachevé n’était pas destiné à être lu par quelqu’un d’autre que lui, ce qui explique son style sobre, dépouillé, presque sténographique, et surtout onirique, réminiscent de rêves dans lesquels il essayait d’y voir clair : on disait d’ailleurs qu’il ne pouvait écrire quand il n’avait pas fait de rêves. Ce qui donne un texte ésotérique donnant lieu à d’innombrables interprétations En matière d’exégèses, que n'a-t-on déjà entendues : Que la symbolique du château serait la satire de l’administration, voire la prémonition de l’État totalitaire. Certes, Kafka a été fonctionnaire et il est indéniable que l’expérience traumatisante qu’il en a eue ait pu quelque peu déteindre sur ses écrits. Mais il n’est pas homme à s’attarder à une satire politique et sociale, et s’il formule des questions, ce sont des interrogations métaphysiques sur l’existence toute entière.Aussi, de toutes les interprétations, c’est celle de Kundera qui est la plus pertinente. K, le personnage du roman, est convoqué au Château par erreur. L’institution est un mécanisme obéissant à ses propres lois qui ont été programmées on ne sait plus par qui ni quand, qui n’ont rien à voir avec des intérêts humains et qui sont donc inintelligibles. Étant donné qu’il n’y a pas pour lui d’autre monde possible que ce château, toute l’existence de K est une erreur. Et c’est aussi la nôtre. L’être a été extirpé du néant sans que personne ne lui ait demandé son avis, appelé à l’existence par une autorité supérieure qu’il cherche en vain à identifier. Cette existence, il n’en connait ni le mode d’emploi, ni la finalité. Cette existence, il n’en voit que le côté incompréhensible et tout ce qu’il peut faire en attendant la mort, c’est d’essayer d’en déchiffrer le sens. Dans le roman, le dossier de K ressemble à l’idée platonicienne. Il représente la vraie réalité, tandis que l’existence physique de l’homme n’est que le reflet projeté sur l’écran des illusions. L’arpenteur K n’est que l’ombre de son fichier ; et il est encore moins que cela : il est l’ombre d’une erreur dans un dossier, l’ombre n’ayant même pas droit à son existence d’ombre. D’ailleurs, tous les personnages ne semblent être que des codes programmés dans un jeu vidéo. Leurs interactions semblent être programmées en fonction d’un plan qui leur est inconnu et ils n’ont d’intérêt pour leurs congénères que dans la mesure où les autres pourraient entrer dans les cases vides de leur plan. Cette vision n’est pas seulement platonicienne, des scientifiques comme Michael Talbot se hasardent à se demander dans son livre « The holographic universe » si l’univers ne serait qu’une projection holographique venant d’une autre dimension..L’existence ne serait donc qu’une bavure administrative ? En écrivant « Le château », Kafka ne fait rien d’autre que d’essayer de déchiffrer ce « monde plein de démons invisibles qui déchirent et anéantissent l’homme sans défense…Il connaissait le monde d’une manière insolite et profond… Tous ses livres décrivent l’horreur de l’incompréhension, de la faute innocente parmi les hommes…» D’où ce style ascétique et dépouillé qui se situe au degré zéro de l'écriture. Car pour saisir le sens profond des choses, il faut commencer par les débarrasser de tout ce qui n’est pas essentiel. Et c’est d’ailleurs ce qui se passe dans les rêves, quand le subconscient effectue un tri en dégraissant les réminiscences du quotidien de tout superflu pour n’en garder que l’essentiel, condensé en symboles cryptés. Ce n’est donc pas surprenant si le roman est truffé de scènes oniriques, comme cette scène où K, dès sa première rencontre avec Frieda, se met à lui faire l’amour sans façon sous le comptoir d’un bar, sous les yeux de ses assistants et de l’aubergiste. Et c’est le même surréalisme dans les dialogues. Les personnages se parlent sans ambages, sans tenir compte aucunement de conventions ou d’interdits, exactement comme dans les rêves, où n’émerge que l’information strictement essentielle.Le texte original a été dénaturé par pas mal de traductions qui, sous prétexte d’enjoliver la prose, y ont supprimé les répétitions pour les remplacer par des synonymes. La langue française tient pour une maladresse la répétition ; l’ennui c’est qu’un mot n’est jamais exactement synonyme d’un autre, et de fil en aiguille, on arrive à dériver complètement du sens originel.Les traductions les plus fidèles sont celles d'Axel Nesme et de Lortholary.

"Le château", c'est la dénonciation, par Kafka, de la bureaucratie, de l'omnipotence de l'administration, de ses abus de pouvoirs, de sa folie. Alors que dans "Le procès", le héros, K., court après une justice introuvable et des juges qui semblent se cacher, ce même K. fait ici face à une administration et des fonctionnaires qui sont partout, qui régentent tout, les événements comme les hommes. C'est drôle, burlesque, souvent délirant, mais également très fouillé, très profond, et magnifiquement écrit (et traduit, ici, par B. Lortholary).Une étoile en moins, toutefois, en raison de la mauvaise qualité de cette édition : certaines pages sont mal imprimées et on a du mal à les lire. En outre, j'ai relevé cinq ou six fautes d'orthographe grossières, comme si cette version n'avait pas eu de relecture finale. Dommage.

On se perd facilement à la lecture de ce roman. Le château dicte sa loi, il n'a aucune faille, l'erreur n'est pas envisageable. On a l'impression à la lecture d'emprunter ce chemin menant au château et de rencontrer nous aussi de multiples obstacles. Les personnages sont ambiguës, hypocrites et capricieux. Le héros K tente d'accéder à un destin inaccessible,être élu parmi les Messieurs du château mais,sa quête est perdue d'avance. Là -haut, au château, on se joue des autres depuis toujours tel un dieu inaccessible,une administration imposante, indéchiffrable, totalitaire manipulant les villageois, comme des marionnettes, L' univers de Kafka est absurde,un idéal abstrait et sans doute inexistant. L'histoire de K n'a pas de réalité, de solution ou de fin.C'est juste une métaphore obsédante sur la persécution et le sentiment d'oppression, toujours plus loin dans la bêtise et l'angoisse.

"Des cauchemars laconiques", c'est ainsi que Borges définissait les récits de Kafka.Je trouve cette définition excellente. Mais le cauchemar ici se prolonge et se charge d'un aspect curieusement rationnel qui en désamorce quelque peu le charme: l'auteur semble s'attacher, avec une systématicité troublante mais lassante à la longue, à saper tout ce que le lecteur pourrait considérer comme des informations. Tout devient mystère et illusion possible. Que surnage-t-il de ce naufrage organisé des certitudes initiales? trois choses me semble-t-il: l'étonnement "devant la loi" (à la complication infinie); un autre étonnement, cette fois devant des images et des scènes infiniment mystérieuses (les aides, Barnabé, l'hôtelière et ses robes); enfin la prolifération face à ces étonnements de discours et de raisonnements qui ne sont rien d'autre que des rationalisations a posteriori. Trois infinis de statut différent! C'est assez complémentaire et fascinant pour faire de ce texte une sorte d'objet littéraire cohérent auquel on pourra donner de multiples sens (politique, théologique, psychologique, etc). Il n'empêche que cela devient très ennuyeux au bout d'un certain temps, et on comprend que Kafka, après cinquante dernières pages plutôt faibles et imprégnées de misogynie, ait fini par se lasser lui-même.

Le roman de Kafka est un classique de la modernité, rien à dire. On sait qu'il a été édité après sa mort par son ami Max Brod, qui a supprimé de nombreux passages, pour diverses raisons. Dans les bonnes éditions, on donne en annexe ces passages supprimés et l'endroit où ils s'inséraient. C'est ce que fait cette édition, qui donne aussi les longues postfaces de Brod où il explique son travail et donne encore d'autres passages inédits. La traduction adoptée est celle d'Alexandre Vialatte, qui date de 1938. Certains regretteront qu'on n'ait pas une traduction plus récente, mais celle-ci a le grand avantage d'avoir été faite peu après la mort de Kafka, par un de ses contemporains. En outre Vialatte est lui-même écrivain, et son style est remarquable. Pour ma part, cela reste ma traduction préférée. Pour le prix (!) c'est vraiment du bon travail.

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